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A revoir les premières saisons de la Quatrième Dimension, on doit admettre que les épisodes en sont magistralement réalisés et que les scénarios en sont généralement très bien ficelés, ce qui suffit à justifier qu'on s'y replonge. On peut toutefois regretter que la plupart des épisodes baignent dans une idéologie américaine assez dégoulinante, parfois même franchement déplaisante. Mais bon ... les séries américaines qui ne sont pas dans ce cas sont de toute façon bien rares.

Dans un contrôle de lecture concernant Zazie dans le métro, une élève de seconde écrit ceci : "Laverdure possède un bistrot à Paris, appelé la Cave. C'est un perroquet." Un autre pense que "Laverdure est l'amant de Marceline", tout en signalant lui aussi que c'est un perroquet.

De l'Assassinat considéré comme un des beaux-arts

"En l'an 1621, comme Descartes pouvait avoir quelque vingt-six ans, il était en train de faire une randonnée selon son habitude (car il était remuant comme une hyène)."

Quoique d'une indéniable misogynie d'époque, ce sont des simili-récits décrivant diverses "joies" de l'homme marié (avec autant d'ironie dans le mot "joie" qu'il y en a dans la Joie de vivre de Zola) sur un ton plein d'humour, avec en prime parfois une phrase pittoresque, comme celle-ci : "car joli et gaillard maintien de femme donne hardement (courage) à couart ribaud de parler".

La douzième "joie" évoque déjà l'enfant-roi au XV° siècle : nous n'avons décidément rien inventé.